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Tristan

Collection:
N°:
D-CF-5768A
Rôle:
Artistes:
Albert Lambert
Descriptif costume:
Cuirasse en toile recouverte d'écailles en métal bronze, garni de fausses pierres rouges et ivoires.
Ateliers de fabrication:
Commentaires:
La cuirasse est réutilisée pour Le Bon Roi Dagobert d’André Rivoire (Costumes de Désiré Chaineux, décors de Jambon (1er acte), Devred (2e et 3e actes), Jusseaume (4e acte)
Création à la Comédie-Française, Salle Richelieu, le 7 octobre 1908
Rôle : Eloi
Artiste : Leloir puis Jean Croué).
La Comédie-Française prend des airs d’opérette pour cette comédie historique vaudevillesque. La critique se fait encore une fois le miroir de la somptuosité des costumes. Le journaliste de Comoedia (8 octobre 1908) interpelle ainsi Leloir : « Dieu ! la belle cuirasse, ô ministre Eloi ! Vous avez l’air, ainsi accoutré, de quelque poisson fantastique aux écailles d’or… Et le beau casque, surmonté d’une paire de cornes dorées ! On jurerait une marmite de campement pour général de division ! Et que de bagues ! que de gemmes ! que de cabochons sur vos chaussures, sur vos vêtements, partout ! », avant de passer à la loge de Georges Berr et ses bijoux « copiés sur les parures mérovingiennes conservées à Saint-Denis », puis dans celle de Mlle Pierat qui l’accueille tel un « bijou de Boucheron ».
Création à la Comédie-Française, Salle Richelieu, le 7 octobre 1908
Rôle : Eloi
Artiste : Leloir puis Jean Croué).
La Comédie-Française prend des airs d’opérette pour cette comédie historique vaudevillesque. La critique se fait encore une fois le miroir de la somptuosité des costumes. Le journaliste de Comoedia (8 octobre 1908) interpelle ainsi Leloir : « Dieu ! la belle cuirasse, ô ministre Eloi ! Vous avez l’air, ainsi accoutré, de quelque poisson fantastique aux écailles d’or… Et le beau casque, surmonté d’une paire de cornes dorées ! On jurerait une marmite de campement pour général de division ! Et que de bagues ! que de gemmes ! que de cabochons sur vos chaussures, sur vos vêtements, partout ! », avant de passer à la loge de Georges Berr et ses bijoux « copiés sur les parures mérovingiennes conservées à Saint-Denis », puis dans celle de Mlle Pierat qui l’accueille tel un « bijou de Boucheron ».
Œuvre:
Genre:
Compositeur / Auteur:
Metteur en scène:
Costumier:
Date de production: